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- L'Afrique n'est et le berceau de la civilisation, c'est aussi le berceau d'arts martiaux bruts et passionnants dont on parle à peine. Il ne s'agit pas de sports conçus pour la télévision. Il s'agit de sports spirituels, de sports durs et de sports liés à l'identité. Il s'agit de lignées, de batailles et de fierté. Si vous êtes fanatique d'adrénaline, de puissance et d'histoires vraies, vous allez découvrir les guerriers cachés du continent. Musangwe : La fierté à poings nus du Venda La survie à coups de poing, ce n'est pas pour l'argent que l'on se bat dans le Musangwe. Il est pratiqué par le peuple Venda en Afrique du Sud, né dans le Limpopo, où il a lieu pendant les fêtes de décembre. Il n'y a pas d'anneau. Pas de gants. Juste une parcelle de terre et un cœur. Ici, l’honneur compte plus que le résultat — et pour ceux qui aiment l’intensité des vrais défis, commencez votre parie sportif avec cette même énergie. Les jeunes garçons regardent. Des hommes plus âgés jugent. Les combattants sont entourés par la foule comme un mur vivant. C'est brutal, certes, mais extrêmement respecté. On ne s'inscrit pas pour combattre à Musangwe. On se présente. En outre, vous lancez des défis. Vous saignez. Mais, on s'en sort avec honneur. Faire mal à quelqu'un, ce n'est pas de la souffrance, c'est de l'intrépidité. Aucun titre n'existe et les combattants ne sont pas payés. La récompense ? Le respect de la rue. La fierté de la communauté. Une tradition transmise dans la douleur et la dignité. Le combat au bâton Nguni : Le rituel rencontre le combat Il ne s'agit pas d'un affrontement de bâtons. Il s'agit d'un art martial et d'un langage zoulou de fierté. Pratiqué depuis des générations, il aide les garçons à devenir des hommes tout en leur inculquant la discipline par le combat. Vous trouverez dans le combat au bâton Nguni : Chaque combattant reçoit deux bâtons, un pour l'attaque et un pour la défense. Il n'y a pas d'armure autre que les réflexes, le courage et les cicatrices que l'on porte. Avant et après le combat, les guerriers chantent des poèmes louangeurs qui leur témoignent du respect dans des chants cérémoniels. Certaines personnes utilisent les matchs pour résoudre d'anciens conflits familiaux et gagner de l'honneur. Le rythme des mouvements est également parlant. Bien qu'un combat ne dure que quelques secondes, il peut rester gravé dans les mémoires toute une vie. Traditions de combat régionales en Afrique de l'Ouest L'Afrique de l'Ouest regorge d'arts de combat bruts et authentiques. Il ne s'agit pas de répétitions ou d'un courant dominant – ils sont locaux, dramatiques, nés d'une vie réelle, ancienne et traditionnelle. Ils ont façonné des générations, mais ils n'apparaîtront pas dans les sports grand public. Deux des styles les plus intenses encore en vie aujourd'hui sont le Dambe et le Laamb. Dambe : la boxe guerrière hausa La forme originelle de ce sport est le Dambe, une caste de bouchers du peuple Hausa au Nigeria. Il s'agit d'un mélange brutal de boxe, de rituel et d'honneur de la rue. Un combattant à la main liée par une corde appelée "lance", et un autre laisse sa main libre pour se battre ou s'agripper. Les jambes sont également des armes. La plupart des combats sont brutaux et rapides, et les mises KO sont généralement effectuées en moins de deux secondes. Les combats de Dambe se déroulent généralement dans des arènes boueuses, sous les cris de la foule. Parfois, il y a du feu, des tambours et des danses. Pour gagner, un combattant met l'autre à terre ou l'oblige à quitter le ring, sans limite de temps. Pas de gants. Juste de l'instinct et de l'entraînement. Le fait que Dambe soit imprévisible crée l'effervescence dans les cercles de parieurs. Un seul coup peut tout faire basculer. Laamb : L'héritage de la lutte sénégalaise Laamb, c'est plus que de la lutte. C'est l'obsession nationale du Sénégal. Il s'agit d'un sport de lutte, pur et simple, qui fait également appel à d'anciens rituels spirituels. Les combattants mettent des années à maîtriser la technique et la préparation mystique. Ils se couvrent le corps d'huiles spéciales qui, selon eux, attirent les bons esprits avant les matchs. Les champions de Laamb sont des célébrités nationales. Musique live, stades gigantesques et supporters en délire remplissent les arènes pendant les combats. C'est simple jusqu'à ce qu'il y ait un contre pour chaque prise, chaque soulèvement et chaque projection. Ce mélange rend Laamb unique, car il s'agit d'une tradition qui implique du spectacle. Les paris qui l'entourent sont énormes, les résultats sont chaotiques et les surprises sont monnaie courante. Lutte nubienne : La force sur les rives du Nil La lutte nubienne existe depuis plus de 3 000 ans. Ce n'est pas un sport, c'est un steeple-chase. Ce style, pratiqué principalement dans le sud de l'Égypte et le nord du Soudan, représente l'équilibre, la préhension et les lancers de hanches. Les combattants ne portent pas de chaussures, ils marchent pieds nus sur le sable chaud. Aucun tapis n'existe. Aucun casque n'existe. C'est un peu plus que du contrôle, du timing et de l'instinct. Les festivals sont des occasions avec lesquelles les matchs sont fréquents, en particulier à Assouan et à Dongola. Les lutteurs utilisent des ceintures spéciales en tissu pour prendre de l'ascendant, et c'est un élément essentiel du jeu. La mission : renverser votre adversaire au sol sans vous mettre à plat. C'est facile ; chaque mouvement compte. Les locaux parient sur les combattants. Les champions sont les idoles des jeunes garçons. Ils sont bruts, réels et incroyablement respectés. Ce n'est pas tape-à-l'œil, mais c'est vrai. Les racines africaines oubliées de la capoeira La capoeira n'est pas née au Brésil. Elle a commencé en Afrique. On ne le sait pas, mais au XVIe siècle, les guerriers angolais pratiquaient le "N'golo", une danse de combat. Il s'est échappé au Brésil sous la forme d'un rythme que les Africains réduits en esclavage ont caché. La résistance est ce qui ressemble aujourd'hui à une performance. C'est plus qu'un mouvement, c'est une mémoire, un combat déguisé en art. ______________________________ Les informations contenues dans le site sont fournies par l'opérateur du site - MELBET, une société enregistrée dans la République de Chypre. Licence 8048/JAZ2020-060, Curaçao. Quelles que soient les circonstances, les personnes âgées de moins de 18 ans ou celles qui n'ont pas atteint l'âge de la majorité autorisé à jouer en vertu des lois de la juridiction du pays concerné ne peuvent pas utiliser les services du site Web indiqué dans le lien. La participation à des jeux d'argent peut entraîner une dépendance au jeu. Suivez les règles (principes) du jeu responsable. 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